La culture maraîchère, constitue
l’une des activités principales de contresaison en milieu rural dans les
villages où il y’a de l’eau dans le marigot. La petite portion de terre dont
nous disposons près du marigot à Doufiguisso, nous permet d’occuper quelque
jeunes dans des activités de jardinage à l’aide d’une motopompe. Là les plantes
de production d’aubergines sont en floraison et commencent à porter des fruits. La
production se présente très bien avec des perspectives de bons résultats que
nous pouvons espérer. Des pépinières de tomate ont bien poussées et dans une
semaine le repiquage de ces plantes de tomates pourra commencer. Les jeunes qui y travaillent sont heureux de
ces activités de contresaison qui les occupent et leur production fait déjà
école et sert de modèle d’inspiration à d’autres jeunes du village.
La Seule difficulté que nous rencontrons, c’est que d’autres jeunes du village sont venus couper les arbres de protection que nous avons laissé sur les berges du marigot, pour vouloir faire leur jardinage sur les rives du marigot. Nous nous sommes fait le devoir de les sensibiliser pour leur dire l’importance de la protection des berges en vue de la pérennisation de l’eau du marigot et aussi pour la protection contre l’érosion des sols cultivables, tel que cela avait déjà été enseigné par la formatrice lors de nos séminaires de formation en techniques de production agropastorale et maraichère et qui d’ailleurs nous avait encourager à planter des palmiers ou autres plantes sur les berges des marigots pour que l’eau reste le long des marigots même en saison sèche. Nous avons alors invités ces jeunes à ne pas déraciner les arbres et plantes qu’ils ont coupées, mais à les laisser repousser pour assurer la protection des berges du marigot, puisque c’est pour cette raison que nous avons laissé cette limite de protection entre notre jardin et le marigot, même si cette portion de terre fait partie de notre lopin de terre depuis les année 1982 où nous avons planté à l’époque des orangés qui n’ont pas survécus aux feux de brousse.
La Seule difficulté que nous rencontrons, c’est que d’autres jeunes du village sont venus couper les arbres de protection que nous avons laissé sur les berges du marigot, pour vouloir faire leur jardinage sur les rives du marigot. Nous nous sommes fait le devoir de les sensibiliser pour leur dire l’importance de la protection des berges en vue de la pérennisation de l’eau du marigot et aussi pour la protection contre l’érosion des sols cultivables, tel que cela avait déjà été enseigné par la formatrice lors de nos séminaires de formation en techniques de production agropastorale et maraichère et qui d’ailleurs nous avait encourager à planter des palmiers ou autres plantes sur les berges des marigots pour que l’eau reste le long des marigots même en saison sèche. Nous avons alors invités ces jeunes à ne pas déraciner les arbres et plantes qu’ils ont coupées, mais à les laisser repousser pour assurer la protection des berges du marigot, puisque c’est pour cette raison que nous avons laissé cette limite de protection entre notre jardin et le marigot, même si cette portion de terre fait partie de notre lopin de terre depuis les année 1982 où nous avons planté à l’époque des orangés qui n’ont pas survécus aux feux de brousse.
Sur le site du projet Wurodinisso, dans le jardin d’irrigation de système goutte à goutte, après la production et la récolte des courgettes, c’est maintenant la production du maïs qui est arrivé presqu’à terme. Nous avons pu y enlever du maïs frais, lors de notre visite de terrain le mercredi 6 et Jeudi 7 Avril 2016, de cette production, que nous avons grillés, sur des brises, et manger. C’était très délicieux de consommer ce maïs frais. Des légumes divers et des plantes de concombres (qui viennent de pousser) sont sur la partie où a été récoltés les courgettes.
C’est beau de voir toutes ses
activités de culture maraîchère et de jardinage de contresaison.