Après les travaux de récolte de
maïs dans le champ pédagogique du projet Wurodinisso, le lundi 30 Septembre 2013, par un groupe de jeunes femmes du village de Doufiguisso, une autre phase
des travaux de récolte est nécessaire à faire au niveau des tas de maïs qui ont été rassemblés. Il faut enlever les
enveloppes qui couvrent les graines, avant
de la mettre à l’abri des pluies et autres dangers, en attendant de les
dégrainer pour les mettre dans des sacs. Pour effectuer une partie de ce
travail, une maman et deux jeunes nous ont accompagnés de Bobo-Dioulasso, ce mercredi 2 Octobre 2013, en vue
de nous y aider. Deux jeunes femmes du village de Doufiguisso sont aussi venues
pour aider dans les travaux de récolte du maïs dans ce champ pédagogique du
projet Wurodinisso. Dans un premier temps, ces deux jeunes femmes ont aidé en
poursuivant le travail qui consiste à enlever le maïs dans le champ et à les
mettre dans tas, un troisième tas après les deux premiers. Les autres, en plus
de Maman Louise et moi Pasteur Samuel SANOU, avons travaillé à enlever les
enveloppes de feuille de pied de maïs sur les graines de maïs qui ont été
récolté et rassemblées en tas. Dans l’après-midi, en faisant un tour vers le
deuxième tas, J’ai constaté que l’humidité de la pluie du lundi soir, 30
Septembre 2013, qui fut très abondante, commençait à mettre en péril ce tas du
maïs Bonofa ; car certaines graines, devenus trop humide, commençait à
pousser et d’autres étaient atteintes par des termines. Nous avons alors demandé à trois jeunes
garçons, venus nous rendre visite et faire boire leurs bœufs à la pompe, d’aider
à étaler le tas de maïs pour que le vent et les rayons du soleil puisse faire
partir l’humidité montée sur les maïs d’en bas du tas qui fut rassemblé le jour
de la récolte. Nous avons aussi demandé aux deux jeunes femmes, bénévoles venues nous aider à
la récolte, et à la demoiselle qui estt
venue avec nous de Bobo-Dioulasso, de consacrer le reste de l’après-midi à enlever
et à transporter une partie de ce maïs humide,
pour l’amener en lieu plus sec, où les rayons du soleil peut les faire sécher.
Pendant ce temps, la maman venue de Bobo-Dioulasso, ainsi que notre fils aîné et Maman Louise et moi-même, Pasteur Samuel SANOU, avons poursuivi les travaux sur le premier tas de maïs récolté et avons pu terminer d’enlever les enveloppes de feuilles de pieds de maïs sur les graines de ce tas de maïs de couleur jaune. Un autre groupe de femmes du village de Doufiguisso que nous avons sollicité pour le second tas de maïs bonofa, déjà récolté du champ, viendra le vendredi 4 Octobre 2013 pour enlever les enveloppes de feuilles sur ce tas de maïs de couleur blanche. La quantité de maïs de couleur jaune récoltée et mis en sécurité dans la maisonnette, en attendant d’être dégrainée et mis dans des sacs, est abondante et satisfaisante. Cette production a pu être possible, grâce à l’appui financier de notre partenaire, SEL France, qui a accompagné la FWS dans la mise en œuvre de ce projet de programme intégré de développement agropastoral, année 1/3. Nous disons un Grand merci à notre partenaire du Nord, SEL France, dont l’appui financier nous a permis de mettre en œuvre cette activité de champ pédagogique du projet Wurodinisso, qui fait école dans la zone du projet, par la mise en pratique des techniques modernes de production agricole. Nous espérons voir d’autres partenaires nous rejoindre pour la poursuite de ce programme pour notre deuxième année d’expérience.
Pendant ce temps, la maman venue de Bobo-Dioulasso, ainsi que notre fils aîné et Maman Louise et moi-même, Pasteur Samuel SANOU, avons poursuivi les travaux sur le premier tas de maïs récolté et avons pu terminer d’enlever les enveloppes de feuilles de pieds de maïs sur les graines de ce tas de maïs de couleur jaune. Un autre groupe de femmes du village de Doufiguisso que nous avons sollicité pour le second tas de maïs bonofa, déjà récolté du champ, viendra le vendredi 4 Octobre 2013 pour enlever les enveloppes de feuilles sur ce tas de maïs de couleur blanche. La quantité de maïs de couleur jaune récoltée et mis en sécurité dans la maisonnette, en attendant d’être dégrainée et mis dans des sacs, est abondante et satisfaisante. Cette production a pu être possible, grâce à l’appui financier de notre partenaire, SEL France, qui a accompagné la FWS dans la mise en œuvre de ce projet de programme intégré de développement agropastoral, année 1/3. Nous disons un Grand merci à notre partenaire du Nord, SEL France, dont l’appui financier nous a permis de mettre en œuvre cette activité de champ pédagogique du projet Wurodinisso, qui fait école dans la zone du projet, par la mise en pratique des techniques modernes de production agricole. Nous espérons voir d’autres partenaires nous rejoindre pour la poursuite de ce programme pour notre deuxième année d’expérience.
Personne de contact :
Pasteur Samuel SANOU,
Chef du Projet / Fondateur,