Dieu a permis au Pasteur Samuel SANOU et à son épouse Louise, de consacrer vingt sept ans de leur existence à son service au sein de l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso (EAC/BF) pour apporter leurs briques pour contribuer à la construction et au développement de son Eglise, tant au plan local, régional, national, qu’international. Pendant les vingt sept ans de ministère Pastoral du Pasteur Samuel SANOU au sein de EAC/BF, les fonctions et responsabilités qu’il a eu le privilège et l’honneur d’occuper et d’assumer et qui lui ont permis d’acquérir de l’expérience au de service de Dieu tout en se mettant au service de ses frères et sœurs en Christ et de la communauté sont :
Ø Le Pasteur Samuel SANOU s’est engagé à servir honorablement le District de Bobo-Dioulasso :
1) Pendant dix sept (17) ans comme Président du District du 8 Janvier 1984 au 26 Novembre 2000 et pendant son mandat de leadership il contribué à l’expansion de l’œuvre de Dieu au sein du District faisant passer le nombre des églises locales dans la ville de Bobo-Dioulasso de une à plus d’une dizaine et celles dans les provinces de une à près d’une vingtaine ainsi que les vocations pour le ministère qui ont augmentée autant que les églises locales dans le District de Bobo-Dioulasso.
2) Pendant quatre (4) ans comme Secrétaire Général du Comité de District de Bobo-Dioulasso du 26 Novembre 2000 au 26 Février 2005
Ø Le Pasteur Samuel SANOU s’est aussi engagé à servir honorablement l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso (EAC/BF) :
1) Pendant seize ans comme Aumônier National Permanent de la JAC (Jeunesse de l’Alliance Chrétienne) du Burkina Faso de 1982 à 1998,
2) Pendant sept (7) ans comme Conseiller au sein de l’UJAC (Union des Jeunesses de l’Alliance Chrétienne) dont le siège est au Burkina Faso de 1991 à 1998,
3) Pendant plus d’une dizaine d’années représenter l’EAC/BF auprès du Centre de Publication Evangélique pour l’Afrique (CPE) basé à Abidjan en République de Côte d’Ivoire de 1985 à 2002 et avoir été membre du Conseil d’Administration du CPE pendant plus de quatre mandats,
4) Pendant quatorze (14) ans comme producteur d’émissions évangéliques d’éducation, d’enseignement et de développement d’abord sur les antennes de la Radio Régionale de Bobo-Dioulasso et puis sur les antennes de la RAC (Radio de l’Alliance Chrétienne) de 1985 à 1999,
5) Pendant neuf (9) ans comme Professeur de cours bibliques et de religions à l’Institut Maranatha de l’EAC/BF de 1992 à 2001,
6) Pendant deux (2) ans comme Président du Bureau National Provisoire (BNP) de l’EAC/BF du 20 Mars 1999 au 24 Mars 2001 pour aider l’EAC/BF à traverser une de ses plus grandes crises après la démission du Bureau du Komité Bâ,
7) Pendant quatre (4) ans comme Président du Comité Exécutif National (CEN) de l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso (l’EAC/BF) du 24 Mars 2001 au 19 Mars 2005 et pendant son mandat il a contribué à une meilleur organisation au sein de l’EAC/BF permettant une croissance à tout point de vue.
8) Pendant quatre (4) ans comme Vice-président du CEN de l’EAC/BF du 20 Mars 2005 au 28 Mars 2009 pour accompagner le nouveau Président qui fut élu sur la base de nouveaux textes de Président détaché de tout autre fonction, texte qui a obligé le Pasteur Samuel SANOU de renoncer à la fonction de Président de l'EAC/BF pour rester Pasteur de l'Eglise Evangélique de Colsama "Temple Béthel" dont il est le Père Fondateur pour voir ensuite avec étonnement que ce texte de détachement du Président de l'EAC/BF, taillé sur mesure, n'est pas appliqué à son successeur à la fonction de Président de l'EAC/BF.
Ø
Ø Le Pasteur Samuel SANOU durant ses six années de leadership passées à la tête de l’EAC/BF :
1) A représenté l’EAC/BF aux rencontres de la Fédération des Eglises et Missions Evangéliques du Burkina Faso (FEME),
2) A représenté l’EAC/BF auprès de la Faculté de Théologie Evangélique de l’Alliance Chrétienne (FATEAC) basée à Abidjan en République de Côte d’Ivoire,
3) A représenté l’EAC/BF aux rencontres de l’Union Mondiale de l’Alliance, etc.,
Ø Le Pasteur Samuel SANOU durant ses vingt sept ans de ministère Pastoral :
1) A servi comme Pasteur Titulaire pendant un an et demi à l’église de Kouentou de Mai 1982 à Novembre 1983,
2) A servi comme Pasteur Titulaire pendant cinq ans à l’Eglise Centrale de Bobo-Dioulasso de Décembre 1983 à Décembre 1988,
3) A servi comme Pasteur pionnier pour travailler à implanter une église à Colsama suite à une affection arbitraire des 26 et 27 novembre 1988 sans point de chute pour lui dans aucune des cinq églises annexes existantes sauf que d’apporter un appui pastoral à l’église annexe d’Accarville de Janvier 1989 à Mai 1990 en attendant la naissance de l’église de Colsama qui est née le 3 juin 1990,
4) A servi comme Pasteur Titulaire et Principal de nouveau à l’Eglise Centrale de Bobo-Dioulasso pour une demi journée le dimanche 10 juin 1990 où il fut introduit le matin dans ses nouvelles fonctions et destitué quelques heures après dans l’après-midi des mêmes fonctions par l’Assemblée Générale du District de Bobo-Dioulasso qui décide aussi d’arrêter de lui payer salaire et loyer en chargeant son église bébé de huit jours de Colsama de le prendre en charge comme les autres églises annexes anciennes que le District décide de sevrer ce même jour.
5) A servi comme Pasteur Père Fondateur et Pasteur Titulaire et Principal de l'Eglise Evangélique de Colsama "Temple Béthel" du 3 Juin 1990 jour de la naissance de cette église au 26 Juillet 2009 où le Comité de District (CD) de Bobo-Dioulasso, après avoir décidé d’une deuxième mutation arbitraire , voir même une troisième, par une note du 27 Juin 2009, à laquelle le Pasteur a refusé de consentir par sa réponse du 12 Juillet 2009 où il informe le CD de Bobo-Dioulasso de l’EAC/BF disant : « ...mon épouse et moi avons décidé en tant que Père Fondateur de l’Eglise Evangélique de Colsama « Temple Béthel », et son Annexe de Belleville, de poursuivre notre ministère pastoral dans ces deux communautés nées de notre ministère pionnier et non de l’initiative du District de Bobo-Dioulasso qui d’ailleurs a refusé de nous accompagner pour permettre à ces églises d’exister... », et qu’ainsi ils ont décidé de ne plus mettre sous la tutelle du District de Bobo-Dioulasso et de l’EAC/BF, cette l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel qu’ils ont fondée le 3 Juin 1990 ainsi que son Annexe de Belleville née le 2 Juillet 2006 et dans leur réponse ils donnent les autres raisons les ayant conduit à la prise de cette décision de vouloir poursuivre leur ministère dans l’église qu’ils ont fondé et aidé à se développer pendant près de vingt ans, mais, au lieu de revoir leur décision suite à cette réponse du Pasteur Samuel SANOU, le Comité de District de Bobo-Dioulasso est venu mettre fin à ses fonctions de Pasteur au Temple Béthel et déclaré ne plus le reconnaître comme Pasteur au sein de l’EAC/BF à partir 25 Juillet 2009 par sa lettre en date du 24 Juillet 2009 avec l’aval du Comité Exécutif National (CEN) de l’EAC/BF, qui en a pris la décision verbale le 23/07/09 lors de sa rencontre avec le Pasteur en refusant d'écouter les supplications du Pasteur alors que les membres du CEN de l’EAC/BF disaient être venus comme des médiateurs. Leur décision fut non seulement matérialisée par écrit par le CD mais aussi a été exécutée par le Comité de District de Bobo-Dioulasso le Dimanche 26 Juillet 2009 par leur opération de retrait forcé de l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel de la direction du Pasteur Samuel SANOU par une forte délégation du CD de Bobo-Dioulasso venu envahir et occuper la chaire du Pasteur Samuel SANOU pour l'empêcher de prendre place à la chaire et de pouvoir s'adresser à son assemblée comme il le faisait d'habitude voilà près de vingt ans. Cette opération de retrait forcé de son église fait sans rencontrer la résistance du Pasteur qui a laissé faire en restant chez lui à domicile pour éviter le scandale dans la maison de Dieu. A défaut d'avoir rencontré la résistance du Pasteur Samuel SANOU, la délégation du CD de Bobo-Dioulasso a fait son opération de retrait de l'église du Temple Béthel à Colsama sans donner aucune explication officielle aux membres de cette église sauf à certains, sans doute des complices de l'oppération, rencontrés les 24 et 25 Juillet 2009 sans aucune annonce officielle passée au préalable à église et rencontre fait hors du cadre habituelle des rencontres légitimes de l'église de Colsama dans le but pour leur permettre de mener leur opération de retrait de l'église le 26 Juillet 2009 en comptant sur l'appui de certains membres de l'église gagnés à leur cause, même si ceux-ci ne représente que 1/5 des membres de l'Eglise Evangélique de Colsama "Temple Béthel". L'opération a été suivi aussi de l’arrêt immédiat du salaire du Pasteur Samuel SANOU dès le mois d'Août 2009 pour ainsi mettre en péril la vie de sa famille et briser sa carrière Pastorale comme à la naissance de cette église de Colsama que le CD de Bobo-Dioulasso et le CEN de l’EAC/BF lui retire de force aujourd’hui après avoir renié la même église le 10 Juin 1990, huit jours après sa naissance, et forcé à l’époque le Pasteur Samuel SANOU et sa famille à survivre rien que par la foi pendant six ans sans salaire en travaillant péniblement ne comptant que sur la fidélité de Dieu pour survivre avec sa famille et implanter et aider cette église de Colsama à se développer et à devenir plus tard une grande église appelée Temple Béthel et une église mère qui a donné naissance à une église fille à Belleville. Dans le traitement de la crise actuelle faisant fis des labeurs du Pasteur Samuel SANOU et sa famille et de ses supplications, les Responsables de l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso ont refusé de revenir sur leur décision pour permettre au Pasteur Samuel SANOU et son épouse de poursuivre leur ministère au sein de l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel et au sein de l’EAC/BF et ont refusé de choisir une des trois propositions de sortie de crise que lui et son épouse ont fait au CEN de l’EAC/BF à travers le Comité de Médiation (CM) mis en place par le CEN de l’EAC/BF qui les ont informé de la mise en place de ce CM par la lettre du Président de l’EAC/BF du 30/07/09 et les membres du CM sont venus les rencontrer le 16 et 21 Août 2009 et a qui ils ont fait les trois propositions dont l’acception d’une des trois devait favoriser leur retour au sein de l’EAC/BF qui sont :
a) Laisser le Pasteur Samuel SANOU et son épouse poursuivre leur ministère à l’Eglise Evangélique de Colsama au Temple Béthel et son Annexe de Belleville selon la vision que Dieu a mis sur leur cœur tout en restant sous la tutelle du District de Bobo-Dioulasso ; ou
b) Donner un statut particulier à l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel dont ils sont le Père Fondateur et son Annexe de Belleville de devenir un District à part entière en permettant au Pasteur Samuel SANOU et son épouse d’y poursuivre leur ministère selon la vision que Dieu leur a mis à cœur sous la tutelle du CEN de l’EAC/BF ; ou
c) Rattacher l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel et son Annexe de Belleville au District de Santidougou et permettre au Pasteur Samuel SANOU et son épouse de continuer à y accomplir leur ministère selon la vision que Dieu a mis sur leur cœur.
Le CEN de l’EAC/BF a fait savoir au couple Pasteur Samuel et Louise SANOU à travers le Comité de Médiation le 10 Septembre 2009 leur refus d’accéder à aucune des trois propositions qu’ils leurs ont fait en vue d’une sortie de crise, et dans les faits le CEN de l’EAC/BF donne son aval au Comité de District de Bobo-Dioulasso pour venir à travers un des membres du CEN de l’EAC/BF installer dans leurs fonctions les deux nouveaux Pasteurs le dimanche 13 Septembre 2009 dans l’église de Colsama au Temple Béthel dont le Pasteur Samuel SANOU est le Père Fondateur et cela sans avoir reçu au préalable son consentement et refuser même de faire mention de son nom lors de la cérémonie d'installation comme si l'église tombait du ciel toute prête entre leurs mains ce jour 13 Septembre 2009 et comme si aucun Pasteur n'avait peiner pendant vingt ans pour la permettre d’exister et d'atteindre son stade actuel de développement. Cet aval fut accordé au CD de Bobo-Dioulasso et même jusqu’à lui permettre d'utiliser les prérogatives réservées seulement au CEN de l’EAC/BF pour aboutir à leurs fins. Sans doute parce qu’eux aussi trouvent leurs intérêts dans le départ du Pasteur Samuel SANOU de l’EAC/BF. C’est pourquoi ils ont ainsi agi, malgré que le CEN de l'EAC/BF savait que le CD de Bobo-Dioulasso a entravé l'aboutissement de la médiation en faisant sortir sa note d’installation de ses deux nouveaux Pasteurs au Temple Béthel avant même la fin des travaux du CM et de la communication du rapport des médiateurs aux membres du CEN de l’EAC/BF le soir du 21 Août 2009 où ceux-ci devaient normalement prendre la décision qui convient. Tous ces faits démontrent très clairement que les Responsables de l’EAC/BF en s’impliquant dans cette crise sans chercher à la résoudre jusqu’au bout n’avaient que pour seul objectif que de retirer de force les fruits des vingt ans de ministère Pastoral du couple Pasteur Samuel et Louise SANOU réalisés à l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel et à son Annexe de Belleville et non de les voir en personnes revenir continuer à servir Dieu au sein de l’Eglise de l'Alliance Chrétienne du Burkina Faso.
Il est claire que le départ du couple Pasteur Samuel et Louise SANOU de l’EAC/BF ayant été forcé par les Responsables du District de Bobo-Dioulasso et du CEN de l’EAC/BF, ce départ ne peut aucunement être assimilé à une démission, car si démission il y'a vraiment, c'est une démission forcée par les responsables du District de Bobo-Dioulasso et ceux de l'EAC/BF et non une démission volontaire, surtout que dans sa réponse du 12/07/09 le Pasteur Samuel SANOU a pris soin de dire très clairement de sa décision que : « Ce n’est pas une démission mais une rupture de contrat » et surtout aussi que malgré les supplications du Pasteur adressées au Comité de District de Bobo-Dioulasso lors de la rencontre du 22 Juillet 2009 au Temple Béthel et au CEN de l’EAC/BF lors de la rencontre du 23 Juillet 2009 au Temple Béthel leur demandant de revenir sur leur décision et de lui permettre de poursuivre, lui et son épouse, leur ministère dans l’Eglise Evangélique de Colsama Temple Béthel et que malgré cela le CEN de l’EAC/BF a décidé de la leur retirer de force le Dimanche 26 Juillet 2009.
Sans doute qu'en qualifiant de démission le départ du Pasteur Samuel SANOU de l'EAC/BF causé par eux-mêmes, les Responsables de l'EAC/BF veulent se protéger et se couvrir où montrer que c'était l'objectif visé par cette fameuse mutation générale des Pasteurs comme l'a si bien dit un des Pasteurs concernés par ces affectations qui en s'adressant au Pasteur Samuel SANOU lui dit : "...Vous êtes le plus visé que nous tous!". Il est aussi claire que suite à la mise en place d’un Comité de Médiation pour une sortie de crise devant amener les responsables de l’EAC/BF à revoir leur décision suite la rencontre que deux frères de l’EAC/Ouagadougou ont eu avec le Pasteur Samuel SANOU le 25/07/09 qui ont ensuite rencontré le Président de l’EAC/BF ce qui a abouti à de la mise en place du Comité de Médiation par le CEN de l’EAC/BF dont les membres ont reçu trois propositions de sortie de crise de la part du couple Pasteur Samuel et Louise SANOU dont l’acceptation d’une des trois propositions devait favoriser la poursuite de leur ministère dans l’église de Colsama au Temple Béthel et au sein de l’EAC/BF, si aucune de ces trois propositions n’a été acceptée par le
Comité Exécutif National de l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso qui d’ailleurs n’a fait aucune autre proposition ni fait aucune présentation d’excuses au couple Pasteur Samuel et Louise SANOU, les responsables de l’EAC/BF et du District de Bobo-Dioulasso ne doivent plus continuer à accuser le Pasteur Samuel SANOU d’avoir refusé de revenir au sein de l’EAC/BF malgré des démarches de réconciliations ou de médiations comme si réconciliation ou médiation était égal à faire pression au Pasteur Samuel SANOU pour l’amener à accepter une décision qui fait l’objet de la crise ou comme si son retour au sein de l’EAC/BF était seulement conditionné à son acceptation de force d’aller mener son ministère Pastoral à l’Eglise de Sarfalao contre son gré même si lui et son épouse n’ont reçu aucune direction de la part de Dieu dans ce sens et qui n’a mis sur leur cœur aucune vision ou fardeau leur permettant d’aller y poursuivre leur ministère avec joie et prêts à affronter toutes les difficultés qu’ils pourront y rencontrer étant sûr eux-mêmes d’être là où Dieu les veut alors que ce retour pouvait se faire aussi si le CEN de l’EAC/BF avait travaillé à amener le CD à revenir sur sa décision ou si le CEN de l’EAC/BF avait décidé opter pour l’une des deux autres propositions que le couple Pasteur SANOU leur a fait ; ne serait-ce que par considération à toutes les fonctions déjà occupées et responsabilités déjà assumées par le Pasteur Samuel SANOU au sein de l'EAC/BF pendant vingt sept ans de ministère Pastoral sans avoir jamais reçu de lettre d'avertissement ni de sanctions disciplinaires pour fautes lourdes et au regard du fait qu'il est l'aîné dans le ministère de tous les Pasteurs du District de Bobo-Dioulasso. Si les Responsables de l’EAC/BF ne peuvent pas être reconnaissant au couple Pasteur Samuel SANOU pour leur contribution au développement de l’œuvre au sein de l’EAC/BF, ni même chercher à réparer les mauvais traitements qui leurs ont été faits dans l’exercice de leur fonction, ils devraient éviter d’ajouter d’autres mauvais traitements.
Etant donné que
Pour ce qui sont des perspectives du couple Pasteur Samuel et Louise SANOU, après un tel arrêt brutal de leur ministère Pastoral alors qu’on ne leur reproche pas d’avoir commis une faute lourde sinon leur refus de répondre à une deuxième, voir une troisième mutation arbitraire malgré qu’ils ont supporté tant d’autres traitements injustes qui ne les ont pas empêché de continuer à servir Dieu au sein de l'EAC/BF, ils savent qu’ils sont arrivés à un tournant décisif de leur ministère pastoral. Ils ne veulent rien précipiter mais restent à l’écoute de la voix de Dieu pour conduire les choses sachant que c’est Lui qui les a appelé à son service selon Esaïe 6 :8 ; Jérémie 1 :4,5 ; Matthieu 28 :18-20, appel auquel ils ont répondu et vont continuer à y répondre. Ils attendent que Dieu les oriente pour la suite de leur ministère Pastoral sachant qu’il y’a encore plus à faire maintenant qu’avant, car il y a de nombreuses âmes à chercher pour les sauver et les conduire dans la bergerie de notre Seigneur Jésus-Christ le Maître de l’oeuvre. Tout en se recommandant à vos prières, ils vous invitent à rendre grâce à Dieu car, comme dit l’apôtre Paul : « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein » (Romains 8 :28). Ils savent aussi qu’avec notre Seigneur Jésus-Christ il n’y a jamais de portes fermées pour ses serviteurs qui apprennent à lui rester fidèles. Lorsqu’une porte se ferme devant eux, Il en ouvrira une autre car c’est Lui le Souverain qui détient toutes les clés de toutes les portes et détient aussi le dernier mot en tout. Jamais notre Seigneur Jésus-Christ, ne permettra à ses serviteurs de marcher sur des chemins sans issus. Il indique toujours un passage qui permettra d’avoir une issue même face à l’impasse. Jamais, il ne permettra au juste de mendier son pain, car même si ont lui retire tout pour le laisser les mains vide, le juste sait que ce sont les mains vides que le Seigneur notre Dieu prend plaisir de remplir et que c’est pourquoi
Pasteur Samuel SANOU et son épouse Louise promettent de vous tenir au courant de l’évolution de la suite de leur ministère Pastoral en fonction du nouveau fardeau que le Seigneur Jésus-Christ mettra sur leur cœur et des portes que Dieu va ouvrir devant eux.
Vous pouvez prendre contact avec eux à l’adresse suivante :
Pasteur Samuel SANOU,
01 BP 3035 Bobo-Dioulasso 01
Cel. (226) 70 22 91 06
Email : samuelouise@yahoo.fr